"Une suggestion réforme pour les politiques de l’opposition"

26 août 20200
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"Au vu de ce qui s’est toujours passé dans les années antérieures dans les processus électoraux, au travers des associations et les militants alliés des partis politiques au Gabon" l’observateur dit de la vie politique,Firmin Emvo Nzué donne son point de vue sur la situation.

Je crois... Il nous reviendra, nous (partis politiques de l’opposition) d’adopter une stratégie commune qui consiste à avoir la meilleure lisibilité de nos sympathisants, partisans, militants et associations alliées.

Parce que l’expérience a toujours montré qu’au Gabon, lors des élections en tout genre. Il arrive que les partis politiques gèrent parfois des associations fictives et qui prennent de l’argent partout.

2023 arrive, les partis politiques de l’opposition doivent déjà mettre en place une plateforme pour la gestion des associations. Au moins, nous avons le temps de se convaincre de qui fait quoi, qui est avec nous, et qui ne l’est pas...

Sans oublier, que les partis politiques de la PG 41, la Coalition Démocratique de l’Opposition (C.D.O) et bien d’autres Coalitions de l’opposition.

Dans le même élan, chaque parti politique devrait avoir effectivement un bon fichier de ces militants. Il est anormal que certains militants siègent et revendiquent les appartenances à des partis politiques qu’ils n’appartiennent pas du tout. Alors qu’ils militent ailleurs. C’est une imposture, et une grave faute constitutionnelle pour ces derniers et leurs formations politiques.

Qui sera militant de votre parti politique ?
« N’est militant de votre parti politique que tout adhérent qui participe au réunion du parti, qui participe aux activités et le fonctionnement du parti, et qui paye régulièrement ses cotisations  ». Cela devrait être là norme dans tous les partis politiques de l’opposition actuelle, afin de pallier à la prostitution politique qui n’est que la haute trahison au sein des partis.

La prostitution politique dans notre pays le Gabon est un mal être des partis politiques. Elle sème la confusion, met en antagonisme plusieurs formations politiques. Surtout l’insécurité et la fuite des informations. Plutôt nous réagissons face à ce phénomène dans notre pays, plutôt nous atteignons la maîtrise des flux de populations de nos partis politiques. « Nous devons rehausser notre combat politique par la meilleure gestion des ressources humaines au moment des élections. Il nous faudrait la qualité d’hommes »


De FMEN

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