American Corner incite les jeunes à étudier aux USA

19 octobre 20150
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« C’est possible d’étudier aux Etats Unis pourvu qu’on s’y prépare bien » tel fut le message porté par la directrice d’EducationUSA. Objectif : Inciter les étudiants gabonais à rechercher les plus hauts standards d’enseignement.

La salle de l’université franco-américaine AFRAM, arborant le drapeau américain et remplie de livres anglicistes accueillait ce samedi 17 octobre, Nancy Ketuke, la directrice Afrique des programmes éducatifs de l’Ambassade des Etas-unis et les étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure pour un entretien sur ce qu’il y’a à savoir pour prétendre étudier au pays de l’Oncle Sam.

Inciter les jeunes à étudier aux USA
400, c’est le nombre d’étudiants gabonais sur près de 800 000 étudiants internationaux inscrits dans les universités américaines. L’oratrice a vivement encouragé les étudiants gabonais à faire croître ces chiffres. « Les Etats Unis ont besoin des étudiants africains, et surtout des étudiants gabonais » s’exclamait Nancy Ketuke entre ses diaporamas.

Meritocratie : Clé de voute pour les USA
Après avoir reconnu qu’étudier de l’autre côté de l’océan atlantique peut s’avérer extrêmement hors coût certes, mais reste le prix à payer pour une éducation de qualité. Prix qui peut être supporté par certains programmes d’attributions de bourse universitaire au plus méritant. C’est « la méritocratie ». Il existe aussi des programmes de bourse qui s’accordent aux besoins financiers de l’étudiant.

Les programmes de l’American Corner
Une séance des plus enrichissantes pour les étudiants qui s’est terminée par l’annonce des programmes de ce nouvel espace culturel Américain à Libreville. Apprentissage pour les enfants et les adultes, la mise à disposition d’une bibliothèque et d’un espace internet, ainsi qu’un service de renseignement pour l’obtention des visas étudiants.

Photo de famille, sourires, « EducationUSA » cris, ainsi s’est achevé cet échange entre les Etats Unis et le Gabon. Occasion de montrer une fois de plus qu’il y’a bel et bien une harmonie culturelle, voir une histoire d’amour.

Arsène REBOUKA

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