LBV/GABON : Des consultations, soins, médicaments et vêtements pour tous au Samu Social.

23 juillet 20180
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C’est en la faveur d’une journée spéciale de prise en charge collective des démunis que le SAMU SOCIAL du Gabon s’est à nouveau illustré, le Samedi 21 Juillet 2018. Les portes de son siège, sis à DP dans le 1er arrondissement de Libreville, étaient grandement ouvertes pour toutes les personnes dans le besoin de consultations, traitements et médicaments. Des vêtements ont été également offerts aux populations à cette occasion.

Le SAMU SOCIAL poursuit sur sa lancée à venir en aide aux personnes en situation difficile dans la vie courante sans répit dirait-on, tant sur le plan sanitaire que matériel, une volonté toujours intact impulsée par son coordonnateur général, le Dr, Yaba Wenceslas.

La structure, désormais connue de tous pour ses nombreuses actions sur le plan social, a une nouvelle fois permis à des centaines de personnes de retrouver le sourire. Très tôt, le Samedi 21 Juillet écoulé, ils sont nombreux à avoir pris d’assaut l’espace aménagé pour la circonstance, et reçus à tour de rôle par les médecins commis à la tâche.

« Nous avons décidé depuis deux mois de faire un service social de traitements ici au siège, déjà parce que c’est plus grand et on arrive à recevoir huit cent personnes sans trop de complications, mais surtout parce qu’il y’a maintenant une grande adhésion du personnel médical. Il y’a trois grands professeurs ici, une trentaine de médecins toutes spécialités confondues qui prennent en charge toutes nos mamans, nos papas, nos sœurs et frères que vous voyez là  », a indiqué le coordonnateur du Samu social Dr, Yaba Wenceslas.

Etant l’œuvre d’un hospitalier, le SAMU SOCIAL obéit à des règles et devoirs ;«  Le SAMU SOCIAL est le principal pourvoyeur de patients qui ne veulent pas aller à l’hôpital, ses personnes qui viennent chez nous, qui bénéficient des premiers traitements nous leur disons par la suite, c’est à l’hôpital que tout s’effectue au final. Et s’ils refusent toujours d’y aller malgré tous nos efforts, eh bien ils finiront malades chez les n’gangas ou les pasteurs qui les manipuleront  », a conclu Dr, Yaba Wenceslas.

Par S.E MISSEVOU

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