De l’ombre à la lumière, le Chaba est éclairé par "le Bon Samaritain Dangher"

9 août 20230
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C’était une promesse, celle d’éclairer cette partie du quartier Louis appelée Chaba. C’est chose faite. Christian Alex Nkombengnondo, plus connu sous le nom de "Dangher" continue de dessiner le sourire sur les visages des habitants de ce quartier de Libreville. Après avoir fait construire des passerelles, fait curer les caniveaux, c’est au tour de l’éclairage de cet environnement. Il vient par ces actes, de redonner un nouveau visage.

Il avait promis d’éclairer cette partie du quartier Louis surnommée "Chaba" située non loin de Batterie 4. C’est chose faite. La lumière est, au bonheur de tous. En plus de l’éclairage, il avait fait bâtir des ponts. Lesquels permettent de relier les peuples, de faciliter leur cohésion sociale, leur vivre ensemble, leur libre circulation. C’est le visage de ce quartier qui change. Cela participe un tant soit peu, au bien-être des populations. "Opounga" le vent comme on le surnomme, pose des actes qui participent à renforcer la cohésion sociale, le vivre ensemble...

Les habitants de ce quartier sont unanimes ; personnes âgées, femmes et jeunes font un bon témoignage de leur "bon samaritain". Blandine Gneno, native de ce quartier, ne cesse de tarir d’éloge pour leur bienfaiteur. Elle a d’ailleurs, en 2008 après son accouchement, prénommé son fils nouveau né Christian, du prénom de Dangher. La preuve que les actions posées par Christian Alex Nkombengnondo alias Dangher depuis plus de 20 ans ont impacté sa vie.

" Christian n’est pas un homme politique. Depuis des années, il pose des actes qui concourent au bénéfice des populations de notre quartier. C’est un homme qui a bon coeur. Il se soucie de son semblable. C’est un homme généreux. Il suscite admiration et respect, contrairement à ceux qui font des promesses électoralistes. Il n’est pas candidat, c’est un homme de bon et de grand coeur. Il est comme du sel, contrairement au cube magie qui s’agite. Il ne s’agite pas, il agit. Mon fils se prénomme Christian en hommage à notre bon samaritain", fait savoir Blandine Gneno, à coeur ouvert.

Cette partie du quartier Louis, non loin de Batterie 4, appelée "Chabba" était difficile d’accès, note le notable Eusebe Imama." Notre fils a fait construire deux passerelles pour faciliter la libre circulation des biens et des personnes. Il nous a aidés à curer des caniveaux. Nous ne serons plus inondés en saison pluvieuse. Et voilà, il vient de nous gratifier des lampadaires. Nous n’avons ni or, ni argent, mais nous n’avons que notre Parole pour le bénir. Ne dit-on pas qu’au commencement était la parole ? Il a toutes nos bénédictions", lance le Notable.

C’est sa nature, celle de faire du bien autour de lui. Il a grandi avec beaucoup d’amour. Cet amour, il le matérialise en aidant les jeunes à se scolariser, en aidant certaines familles et en posant des actes qui profitent au plus grand nombre. Il reste convaincu qu’il y a du plaisir à donner qu’à recevoir.

MTM

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